Historique du nom: La Sagerie
(1577, Archives 37, G6), La Sagerie (XVIe, XVIIe siècles, Archives 37, G24, G26), La Sagerie (1619, Bibliothèque nationale, 65C26538), La Sagerie (1620, Archives 37, G146), La Sagerie (1645, Archives 37, G23), La Sagerie (1645, acte Boutet/Tours), La Sagerie (1672, 1745, Archives de Saint-Avertin), La Sagerie (1771, acte Hubert/Tours), La Sagerie (1773 (Archives de Saint-Avertin), La Sagerie (1820, Carte de l'état-major), La Sagerie (1822, Cadastre), La Sagerie (1829, acte Laurent/Tours), La Sagerie (1835, acte Bonneville/Tours), La Sagerie (1960, Cadastre), La Sagerie (2014, Carte IGN).
Ce domaine relevait du fief de Bois Rahier (Grandmont). En 1577, il appartenait à Jean Joret. Le 15 septembre 1645, La Sagerie fut acquise par Claude Fouquet, bourgeois de Paris. Son fils Mathurin Fouquet épousa, le 13 janvier 1668, Madeleine Pallu, fille d’Étienne Pallu qui avait été maire de Tours et qui, en 1669, lui transmit sa charge de trésorier de France au bureau de la généralité
de Tours. C'est sa petite-fille, Marie-Marguerite le Normant de la Place, veuve de François-Louis de Jaucourt, qui vendit La Sagerie, le 9 novembre 1797, à Gatien de la Germonnière et son épouse, Magdeleine-Gabriel Benoist de la Grandière.
Celle-ci, après la mort de son mari, le 27 mars 1829, resta seule propriétaire de La Sagerie. Dans les années suivantes, ses mandataires successifs commencèrent le démembrement de la propriété. Quand, le 10 janvier 1835, on vendit La Sagerie, il fut précisé qu'il n'y avait plus qu'une partie de la propriété telle qu'elle existait il y a quelques années. Une nouvelle vente eu lieu le 30 octobre 1980.
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