Bréhémont - Bray

Ce domaine s'est appelé: Bray (1556, Archives 37), Bray (1626, 1630, 1636, 1637, Archives de Bréhémont), Bray (1639, rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), Bré (1648, Archives de Bréhémont), L’Hereau de Bré (1654, acte notarié), Bray (1654, acte notarié), Bray (1665, 1677, 1682, Archives de Bréhémont), Brais (1688, acte notarié), Bré (1690, Archives de Bréhémont), Bray (1693, Archives de Bréhémont, inhumation), Bré (1694, Archives de Bréhémont), Bré (1700, Archives de Lignières-de-Touraine), Bray (1715, acte notarié), Bré (1719, Archives de Bréhémont), Bré (1740, acte notarié), Bray (1744, Archives de Bréhémont), L’Hereau de Bray (1746, acte notarié), Bray (1748, Archives 37), Bray (1758 et 1767, Archives de Rigny-Ussé), Bray (1768, 1770, 1771, 1778, actes notariés), Bré (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Bré (1799, acte notarié), Bray (1813, cadastre), Bray (1853, 1861, actes notariés), Bray (1940, cadastre).
Ce fief, ayant un revenu annuel de 10 livres en 1639, relevait de la baronnie de Rillé. En 1554, Jean Pyballeau, marchand, l'acheta, ainsi que le fief du Petit-Bray, situé dans la paroisse de Rillé. En 1555, le même domaine appartenait à François du Raynier, suite à son mariage avec Yolande de la Jaille; en 1630, à René Marquis; en 1637, à un autre René Marquis; en 1665, à Charles Marquis, décédé en 1693; en 1694, à Louis-Claude Marquis de Bré; en 1700, à Charles Marquis; en 1719, à Pierre Pallu, seigneur de Bré, bourgeois de Tours, marié, le 10 juillet 1717, à Claude Marquis, et enseveli, à l'âge de 85 ans, le 14 juillet 1744, en présence de ses enfants, Urbain et Pierre Pallu. Le 25 avril 1752, Pierre et Urbain Pallu vendirent Bray, pour 23.000 livres, à Louis-François Le Royer de la Sauvagère, d'Artezay, chevalier de Saint-Louis, capitaine au régiment de Champagne, directeur en chef pour le génie à Carentan. Après sa mort en 1767, Bray passa à sa fille Catherine-Louise qui, le 26 juin 1770, se maria, dans la chapelle du château d'Ussé, à Louis-François, comte de Marcé, dont les descendants en furent propriétaire jusqu'en 1900. Leur arrière-petite-fille, Marie-Genevièven se maria au cousin de son père, Paul-Gabriel de Marcé, et reçut Bray en dot le 28 septembre 1853. Devenu veuve, Mme la vicomtesse de Marcé vendit Bray, le 5 novembre 1900, à Jean Péan et Pauline Séré. Par la suite, Bray subi plusieurs mutations en 1948, 1953, 1954 et 1986.

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