Historique du nom: La Barre (1335, Cartulaire de l’archevêché
de Tours, charte 158), La Barre (1352, Cartulaire de l’archevêché
de Tours, charte 159), La Barre (1564, Archives 37, C336, C653), La Barre ou Les Trois Oyes Blanches (1720, 1744, Archives 37, H401), La Barre (1748, acte Tousche/Vallières), La Barre (1766, Archives 37, 3B330), La Barre (1767, acte Legendre/Amboise), La Barre jadis Les Oyes Blanches (vers 1775, Archives 37, A7), La Barre (XVIIIe
siècle, Carte de Cassini), La Barre (1788, acte Boisquet/Tours), La Barre (1793, Archives 37, 1Q320, Biens nationaux), La Barre (1813, Cadastre), La Barre (1820, Carte de l'état-major), La Barre (1862, acte Scoumanne/Tours), La Barre (1907, acte Lacharme/Montlouis), La Barre
(1963, Cadastre), La Barre (2014, Carte IGN).
Ce fief, relevant du château d'Amboise, est connu dès 1314. A cette époque, il appartenait à Macé Chape d'Asne. L'abbaye de Marmoutier en devint propriétaire et elle le vendit, par acte du 21 octobre 1564, à Jacques Bigot, qui eut pour successeurs Constant Souard et Georges Seillot. Un peu plus tard, il revint encore aux mains de l'abbaye de Marmoutier sur laquelle il fut vendu comme bien national, en 1791. Le même monastère possédait aussi, à La Barre, une métairie appelée Les Oies Blanches.
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