Historique du nom: La Girardière (1697, Archives 37, E219), La maison seigneuriale de la Girardière (1721, Archives 37, E219). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN).
En 1697, cette maison appartenait à Henriette Bidé, femme de d'Armand Louis de Ruzé, chevalier, seigneur de Chancelée (bail du 27 juillet 1697).
Historique du nom: La Girardière (1672, Archives 37, E156), Petite Binelliere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Petite Binellière (1836, 1939, Cadastre D2). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.
Ce fief relevait de Franc-Palais.
Historique du nom: La Girardière (1624, Archives 37, E166), La Girardière (1650, Archives 37, G730), Maison noble de la Girardière (1725, Archives 37, E219, E232). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.
Cette maison relevait du fief de La Rajasse et appartenait, en 1624, à François de Sassay, écuyer; en 1650, aux religieuses de Bonne-Espérance de Champigny qui la vendirent, le 21 juin, à Pierre de Baignan; en 1725, à la famille Turgot de Sousmons.
Historique du nom: La Gonnelle (1812, Cadastre d’Étableau B3). Ce domaine ne figure plus sur le cadastre de 1968 et la carte IGN de 2013.
Ce domaine faisait partie de l'ancienne commune d’Étableau.
Historique du nom: Blanlac (1332, 1370, Archives 37, H, Abbaye Saint-Julien de Tours), Gaigneria de Albo locu (1323), Blanlac alias Goupillère (1628, Archives 37, H, Sacristainerie de l’abbaye Saint-Julien de Tours) La Goupillère ou Blanlac (1880, Dictionnaire d'Indre-et-Loire, J.-X. Carré de Busserolle). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.
En 1332, Jean Le Coustelier, prêtre d'Amboise, vendit ce domaine, pour 100 livres, à Jean le Rétif, religieux de Saint-Julien de Tours, qui le donna ensuite à son monastère. Selon un titre du 26 février 1635, les terres qui en dépendaient avaient une étendue de 8 arpents.
Historique du nom: Le Moulin (1685, Archives de Sennevières, plan), Le Moulin de Sennevières (1734 (acte notarié, Loches), Le Moulin de Sennevières (1770, Archives 37, E94, Cartulaire de l’archevêché de Tours), Le Moulin de Valière (1794, Archives 37, 1Q222-161. Biens nationaux), Ancien Moulin de Vallière (1820, Carte de l'état-major), Ancien Moulin de Vallière (1826, Cadastre D1), Ancien moulin de Vallière (1934, Cadastre), Le Moulin de Vallière (2013, Carte IGN).
Le 3 mars 1478, Guillaume de Tranchelion céda, par bail à rente, cette terre à Jehan Allin, meunier à Chédigny. Ce dernier devait y bâtir un moulin, sur le Beugnon, qui était redevable de 22 setiers de froment et 10 setiers de mouture. Il était rachetable par le seigneur pour 85 livres. En 1770, Anne Gaullepied rendit aveu pour ce moulin. En 1791, il fut vendu comme bien national.
Historique du nom: L’Étang de Gousset (1784, acte Mouys/Tours), L’Étang du Goussec (1791, Archives. 37, 1Q196, 200 et 204, Biens nationaux), Étang de Gousset (1820, Carte de l'état-major), Étang de Gousset (1832, Cadastre B1), L’Étang du Gousset (1861, acte Archambault/Loches), Étang de Gousset (1935, Cadastre B1), Étang de Gousset (2013, Carte IGN).
Le 2 mai 1791, cet étang, propriété de l'archevêché de Tours, fut vendu comme bien national.
Historique du nom: Vertaunay (1699, acte Courault/Langeais), Le fief de Verthonay (1700, acte Rabineau/Savigné-sur-Lathan), Vertaunay (1704, acte Rabineau/Savigné-sur-Lathan), Vertonay (1729, acte Pays/Cinq-Mars-la-Pile), Vertaunay (1735, 1739, actes Pays/Cinq-Mars-la-Pile), Le fief de Vertaunay (1743, acte Douault/Langeais), La Veitaunay (XVIIIe siècle, Carte de cassini), Vertonay (1795, acte Hubert/Tours), Verthonay (1820, Carte de l'état-major), Verthonay (1829, Cadastre A1), Vert Aunais (1871, acte Collinet/Langeais), Verthonay (1938, Cadastre A1), Verthonay (2013, Carte IGN).
Ce fief a fait partie de l'ancienne commune de Saint-Symphorien-les-Ponceaux. En 1743, il relevait du fief de La Renardière.
Avrillé-les-Ponceaux par Tourainissime
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Historique du nom: La Grande Cour (1791, Archives 37, Q, Biens nationaux), La Grande Cour (1813, Cadastre E1). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1954 et la carte IGN de 2013.
En 1791, cette propriété des religieuses Viantaises de Beaulieu fut vendue comme bien national.
Cette maison, située dans le bourg, près de l'église, relevait censivement du fief de Châtenay selon des déclarations féodales de 1641, 1673 et 13 avril 1741. En 1641, elle appartenait à Michel Porthays; en 1673, à Pierre Ferregeau, échevin de Tours; en 1756, à Jean-François Fremin, écuyer, seigneur des Grandes-Brosses, ancien chef de la fruiterie du roi, marié à Jeanne Domilliers. Par acte du 16 octobre 1760, Jean-François Fremin la vendit à Geneviève Thérèse Perrot, femme, non commune en biens, de Justin Bethmont-Denizy. De nos jours, cette maison est devenue la mairie.
Historique du nom: La Grande maison (1702, Archive 37, G775), La Grande Maison (1810, Cadastre de Chouzé-le-Sec B). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1955 et la carte IGN de 2015.
Par testament du 10 juillet 1702, Madeleine et Hélène Dain, demeurant à Vaujours, léguèrent cette propriété à la cure de Chouzé.
Historique du nom: La Grande Maison (1837, Cadastre C1), La Grande Maison (1960, Cadastre C3). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.
Ce domaine relevait de l'abbaye de Seuilly.
Historique du nom: La Haute Grange (1812, Cadastre d’Étableau E2). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1968 et la carte IGN de 2013.
Cette terre a fait partie de l'ancienne commune d’Étableau.
Historique du nom: Grattechien (1256, Archives. 37, G, Chapitre de Saint-Martin de Tours, fief de Chaumont), Gratte Chien (1747, 1779, Archives 37, G, Chapitre de Saint-Martin de Tours, terrier de Chaumont). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.
Ce domaine relevait du fief de Chaumont selon une déclaration féodale faite en 1785. Par acte du 6 novembre 1747, Jacques Augeoit, maître d'hôtel du duc d'Orléans, le vendit à Joseph Pezeron, qui le céda, le 28 février 1749, à Jean Tabareau. Ce dernier, le 18 avril 1768, le vendit à Louis Bellanger. Jean André Coudreau l'acheta par acte du 3 septembre 1779.
Historique du nom: La Groseille (1523, 1572, 1785, Archives 37, G394), La Groiselle (1750, acte Petit/Tours), La Groseille (1811, Cadastre A1), La Groseille (1851, acte Robin/Tours). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.
Ce domaine relevait du fief de Chaumont selon des déclarations féodales des 20 mai 1523, 8 septembre 1572 et 7 octobre 1785.
Historique du nom: La Guillonnière (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Saint-Christophe), La Guillonnière (1752, Archives 37, H, Abbaye de Gâtines), La Guillonniere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre et la carte IGN.
Ce fief, ayant un revenu annuel de 10 livres en 1639, relevait de Lavardin et appartenait à l'abbaye de Gâtines.
Historique du nom: La Guilloterie (1691, Archives 37, C615), La Guillottiere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Quillotrie (1820, Carte de l'état-major), La Quilloterie (1827, 1938, Cadastre F1), La Quilloterie (1938, Cadastre), La Quilloterie (2013, Carte IGN).
En 1691, ce domaine relevait du Grand-Clos.
Historique du nom: La Hamelinière (1590, 1600, Archives 37, G92), La Hamelinière (1686, Archives 37, E112), Alleminiere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre et la carte IGN.
En 1590, ce domaine appartenait à Claude de Percy; en 1600, à François de Percy. Le 3 avril 1686, il fut adjugé, par décret, à François d'Aligé. Il passa ensuite à Antoine de Boutillon (1702), puis à la famille de Folleville.
En 1960, ce domaine appartenait à M. Clouet qui y fit transformer, de 1961 à 1963, un pressoir en habitation, selon des plans de l'architecte Pierre Boille.
Historique du nom: L’Ermitage (1794, acte Gaudin/Tours), L’Hermitage (1811, Cadastre de Saint-Symphorien A2), L'Hermitage (1820, Carte de l'état-major), L’Ermitage (1975, Cadastre), Centre de Convalescence de l'Ermitage (2014, Carte IGN).
En 1791, ce domaine appartenait à Pierre Jean Pouget de Monsoudun, ancien trésorier de l'extraordinaire des guerres.
